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samedi 7 novembre 2015

L'Étoile d'Araignée

e-Toile

Après la théorie (kabyle) du cône, voici un semblant de théorie (kabyle) de l'araignée. Je suis persuadé que cette idée est déjà venue en tête à d'autres personnes il y a longtemps, très longtemps. En fait, tout repose sur l'observation et l'interprétation d'une image, un arrêt sur image pas comme les autres car l'image est plus que captivante, c'est une empreinte de comment marche notre monde, notre univers.
L'image en question (voir illustration ci-dessus) est un cliché photographique longue pose réalisé avec un appreil photo. Donc pour un observateur des temps antiques, il fallait observer à l'oeil nu la voûte céleste les yeux braqués sur l'étoile polaire une heure durant, puis faire un dessin des "prises de vue" durant cette période de temps pour aboutir au même résultant que le photographe moderne. On a vu déjà ce cliché dans le récent billet "La grande illusion", entre autres, l'interprétation correcte ou erronée de la place de l'étoile polaire par les astronomes anciens, l'idée du noyau et de l'atome, Ankh pour les pôles et l'étoile polaire, etc.
Là on va aller plus dans l'interprétation de ce cliché. D'abord, nous avons l'arc que décrit l'étoile polaire, extrêmement petit car cette étoile est proche de l'axe de rotation de la Terre. Ensuite, du cas particulier de l'étoile polaire, on passera au cas général d'une étoile, voire même d'un système stellaire, ou d'un système planétaire, du système solaire par exemple, d'un système planète-lunes satellites naturels. Nous sommes, bien entendu, face à la réalité de la gravitation, de l'attraction universelle. Regardez maintenant l'image ci-dessous, elle est comparable au cliché du photographe ci-dessus, et je suis convaincu qu'au moins une personne ayant vécu durant l'antiquité a eu la même réflexion, avait fait le même rapprochement que je viens de faire :
On appellera "Spiderman" la première personne dont on ne connait pas le nom et qui aurait eu cette réflexion le premier avant ses congénères de son époque comme des siècles suivants. On a désormais les prémices de la future théorie (kabyle) de l'araignée, et la désignation correspondante pour ce phénomène de physique expliqué par fabule ou métaphore : l'étoile de l'araignée.

La toile tissée par l'araignée devrait s'appliquer d'abord à l'Etoile polaire, puis aux Pôles de notre Terre, vraisemblablement aux pôles magnétiques plus que pour les pôles géographiques. La petite bête, l'Araignée, va logiquement s'apparenter à... l'hydre (par extension, à la pieuvre, au pulple), et donc aux Pôles. Tiens, les deux pôles de la Terre (magnétiques ou géographiques, peu importe) s'apparentent naturellement au Genre, càd Homme/Femme, masculin/féminin.

On sait que l'hydre, en kabyle thallafsa ou lafaa, ce dernier existe en masri/arabe aussi pour vipère, est un serpetn qui habité thalla "la source". C'est-à-dire que l'hydre, et donc thallafsa et thalla en kab, indiquerait forcément le centre de qlq chose, le centre de rotation (càd l'axe de rotation) par exemple, ou le centre de gravité peut-être. Et, nouvelle hypothèse de travail, soit l'hydre, soit l'arc, ou les deux carrément seraient synonymes d'eau douce, qlq part l'eau de vie (bénite ?) au sens d'eau vitale (Ankh "vie" y serait apparenté donc), ou l'Eau tout simplement ! C'est une nouvelle piste qui se dessine.
L'étoile de l'araignée et la comparaison araignée-hydre, c'est tout juste un premier pas dans cette théorie (kabyle) de l'araignée qui va peut-être nous permettre de découvrir comment jadis les phénomènes que nous connaissons aujourd'hui grâce à la science (la physique) étaient expliqués par des paraboles. Il y a d'abord le phénomène de la gravitation dans cette toile d'araignée et l'hydre. Ensuite, l'hydre par excellence car toujours à la source, et l'araignée pour sa toile pourraient nous aider à comprendre un autre phénomène de la nature : le rayonnement électromagnétique, les ondes électromagnétiques et particules émises par une source : une étoile, une seupernova, un pulsar, une nébuleuse, une planète. Enfin bref, c'est un vaste domaine de la physique qui s'ouvre à nous.
On peut légitimement se poser des questions sur la représentation du dieu Aton chez les anciens Egyptiens qui lui vouaient un culte qui durant le régne d'Akhénaton se substitua au culte d'Amon : que comprenaient-ils par ce rayonnement de cette divinité ?
ETOILE
On peut à juste titre supposer que le terme étoile, stella, estrella, star soit apparenté à la notion de stare "être debout" et constare donc constante, voire même de struo "bâtir" de construire. Dans les deux cas, constante ou construire, le parallèle avec le terme Echelle s'impose, l'échelle qui, comme on l'a vu dans le récent billet "Everest", est apparentée à l'égalité ou plutôt la constante. Ce qui est valable pour l'étoile le serait pour les astres :
Astre ~ Echelle (constante), (construction)
Une échelle-constante, ça devrait servir d'abord à mesurer, n'est-ce pas, et l'on a dans l'exemple zodiaque astronomique (13 constellations  "constantes" (repères) que semble traverser le soleil en un an) une parfaite illustration de l'échelle-constante pour mesurer le temps. 
Il y a de fortes chances que le kabyle/berbère ithri "étoile" soit en lien avec hydre, piste à suivre. Pour le moment, l'autre "hydre", l'araignée qui tisse sa toile-piège de prédateur, ou son filet de pêcheur, pourrait symboliser une étoile-échelle, càd une étoile avec sa grille espace-temps qui capte les planètes.