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lundi 24 août 2015

Terracotta

Carbone !

Ce billet fait suite aux deux précédents. Un billet-annonce tant il m'est difficile de cerner toute la problématique et la foison de notions qui découlerait d'un tout petit symbole, de l'hiéroglyphe égyptien de l'urbanisme à valeur phonétique NIWT qui atteste le Plan (de ville), la Ville :
Ce qui me réjouit le plus, même si l'on reste dans l'incertitude du domaine de l'hypothèse, est que je suis convaincu actuellement d'avoir identifié une (nouvelle) figurine de l'échiquier égyptien dont j'ai parlé sur l'ancien blog. Ce symbole d'une croix dans un cercle de Plan, Ville aurait comme équivalent sur l'échiquier la figurine suivante :
niwt : PION
D'une manière plus générale, cet hiéroglyphe de Plan/Ville serait la Base, l'Unité de base la plus petite dans tous les calculs, le plus petit/jeune dans la hiérarchie (ex. un enfant), le plus bas de l'échelle (ex. grade ou titre), la plus petite subdivision - c'est le centime pour le franc/euro ou pence pour pound (livre anglaise) -, la plus petite valeur mesurable et pondérable. En gros, cet hiéroglyphe contiendrait des notions que nous utilisons de nos jours dans les sciences exactes notamment.

Deux choses retiennent mon attention dans ce rapprochement de l'hiéroglyphe NIWT "croix dans un cercle" signifiant Plan/Ville du Pion. D'abord le sens transposé que l'on retrouve dans les jeux se stratégie comme les Échecs, mais pas seulement. Ce Pion deviendra plus tard un Soldat de Plomb en Europe, mais longtemps avant il a été pérennise en Chine en terracotta :
Armée de terre cuite
Les interprétations de ces statues de soldats en terre cuite évoquent tout sauf le rationnel. Dommage. Car cette récente découverte en Chine est en mesure de cesser l'infamie concernant... Carthage ! Oui, on va faire crever sur le champ l'abjecte théorie romaine concernant les Carthaginois qui pratiquaient le sacrifice des enfants : le Tophet ou le cimetière de Carthage est comparable à celui des statues de terracotta (terre cuite) de l'empereur de Chine, comme quoi il y a du chinois dans le carthaginois ! La rumeur romaine sur le "sacrifice des enfants" par les Carthaginois va être retournée contre ses auteurs, et elle ne serait au contraire que valorisante pour Carthage comme l'histoire (ou la légende) italienne sur Fibonacci qui aurait découvert les suites à Bougie, la capitale de la Kabylie.
Pourquoi ?
- les pions sur l'échiquier, les statues de soldats chinois en terre cuite ou les supposés "enfants sacrifiés" de Carthage sont un indice en rapport avec... les CHIFFRES et/ou le Zéro !
- asfel (sacrifice, sacrifié) en kabyle, dit dhahiya en arabe, serait le plus à même à être rapproché de chiffre, zéro que les occidentaux s'entêtent à prêter aux arabes l'origine des chiffres qui n'ont jamais été utilisés par les arabes et encore moins inventés par eux. Peut-être que la langue arabe, langue cléricale et de synthèse, a aussi dans (fi) sabil l'équivalent du kabyle asfel pour sacrifice ?
En gros, l'idée est de dire que les 8 pions sur l'échiquier sont des Pions, d'abord, puis des Zéro (0), ils n'ont aucune valeur ou une valeur nulle ou NEUTRE (ils sont d'ailleurs sacrifiés dans le jeu !) sauf s'ils se trouvent devant (échecs)-derrière (chiffre) une autre figurine (ex.pion dame), de même façon que pour les chiffres : 01 c'est 1, 10 indique dix ou 100 cent, un niveau/degré/une puissance, etc.
Voilà donc la piste à exploiter pour aller chercher la vraie origine des chiffres. Ce Pion me rappelle le Carbone : il est soit du graphite sans valeur, soit du diamant

Et si on parlait de l'armée, hein ? On a abordé, il y a un bon moment sur l'ancien blog, le Soldat de Plomb , le Soldat de Cire et le Soldat de Sable dans le contexte de chiffres, suites et Bougie. Le pion, le soldat (chinois) en terre cuite l'illustrent on ne peut mieux ce soldat qui fond ou se sacrifie...
Il me semble avoir formulé ce postulat : lorsque deux langues partagent un même mot, il y a emprunt si proximité ou un fond commun (un tiers) en cas d'éloignement entre ces langues et les cultures qu'elles véhiculent : c'est le cas du kabyle vs masri/arabe, les interférences suggèrent un fond commun, l'Egypte ancienne très probablement. On dit R'mel en kabyle et raml en arabe pour le Sable. Les autres, puiqu'ils sont plus nombreux et donc plus bruyants, crient à qui veut les entendre (pas moi en tout cas !) que le kabyle a emprunté à l'arabe, ou masri/arabe. La belle blague !
R'mel en kab, raml en arabe pour Sable ~ Armée en fr.romanes/latin, etc.
djoundi (soldat) en arabe ~ Unité (le Pion plus haut dans le texte), ? Junta en esp. ?
Soldat ~ Sand (sable) en anglais, Cendres, Centre (épicentre)
On parle de piétaille, d'infanterie, càd des fantassins, des combattants à pied, soit l'Armée de Terre..cuite, une Terracotta Army ! Plus généralement, ce pion-soldat piéton compte pour du sable, du cire, du plomb, des cendres, c'est lui qui va au charbon : d'ailleurs le terme kabyle a-harvi (pétard) ou le terme arabe harb (guerre) ne seraient-ils pas en relation avec Carbone, charbon ? La plaisanterie des chiffres "arabes" ne serait-elle pas une mauvaise interprétation de chiffres "carbon" ? (notre blog Cap Carbon porterait alors bien son titre au vu de ses objectifs de "numériser" la langue kab !)
Peut-être bien que l'explication du Zouave se trouve dans ce domaine de soldat-pion. On y reviendra dès que possible.
Cet hiéroglyphe égyptien aurait à mon sens une valeur inestimable tant il continent un concentré de notions difficile à analyser dans des délais brefs, autant vous dire que je suis débordé par tout ce qu'il m'inspire comme rapprochements. C'est peut-être du Plomb, ou du Carbone, je n'en sais rien pour le moment ! A la prochaine !