La Kabylie Légendaire, partie 1. Kabylie, été 1994. Des hordes de terroristes arabo-islamistes, enfantés par l'Algérie, s'attaquent à la population y compris en Kabylie. Un village kabyle de distingue alors en repoussant l'assaut des tangos islamistes armés jusqu'aux crocs : Igoudjal, symbole de la résistance des citoyens kabyles contre l'agression arabe et islamiste. Le nom de ce village cache qlq chose de plus intéressant encore, en tout cas les citoyens kabyles d'Igoudjal sont bien nommés...
Généralement on interprète ce nom i-guǧal comme étant une autre variante de i-guǧilen "les orphelins", pluriel de a-guǧil (pron. agougile en fr.) "un/l' oprhelin". A vrai dire, ce toponyme aurait une signification autre qui reste à déterminer, néanmoins la relation de Igoudjal avec i-guǧilen "les orphelins" est indéniable et nous donne une signification qui va vous surprendre certainement. Voici de que veut dire un orphelin en kabyle a-guǧil en 2 photos :
- un légionnaire Igoudjal ou i-guǧilen "les orphelins" sont des légionnaires.
- un éléphant Igoudjal ou i-guǧilen "les orphelins" sont des éléphants. Qlqs déductions maintenant de cette relation "orphelin-éléphant-légionnaire". Luphan "bébé" et ileph "sanglier" (mêmes défenses que l'éléphant) en kabyle pourraient être issu de cet éléphant. De même le terme fil "éléphant" en masri/arabe s'alignerait sur orphanus d'orphelin en latin et grec.Mais il y a 2 choses encore plus importantes : 1. Les éléphants d'Hannibal Barca seraient donc des Légionnaires ; 2. La version la plus récente des Eléphants de guerre carthaginois, des Légionnaires romains, ce sont ... les Janissaires, d'Alger entre autres, dont a parlé déjà sur ce blog. On comprend que les enfants orphelins soient les recrues par excellence pour les armées... Ainsi le kabyle a-guǧil "un/l' orphelin" peut avoir un lien avec l'italien giallo "jaune", cette couleur sera celle du milicien, militaire, légionnaire, janissaire ?
On va boucler ce post sur la chanson "Les orphelins" de feu Dda Lwennas , chanson triste à déchirer le coeur sur le veuf et ses orphelins. L'esprit d'Igoudjal, l'esprit des orphelins est celui de la résistance. Ce poste leur est dédié, aux légendaires orphelins-éléphants vaillants défenseurs de la patrie kabyle.
Mots Croisés Voici une nouvelle page, la deuxième après celle du "Kabyle universel", du rêve kabyle de numériser un jour la langue kabyle et plus généralement les langues de l'humanité. Alors, quelle serait la meilleur méthode pour tirer des chiffres des lettres et des nombres des mots ? Vous savez, la solution est aussi simple que géniale, et ludique aussi ! : les mots-croisés. Il faut croiser les mots sur une grille, une carte, un échiquier ou un tableau avec des colonnes à la verticale (longitude) et des lignes à l'horizontale (latitude) pour y voir des chiffres, une case lettre-lettre, chiffre-chiffre ou généralement chiffre-lettre étant une case (échiquier), une coordonnée, une valeur, etc. Il suffit maintenant de comprendre le nombre de cases nécessaires dans notre cas précis pour établir une matrice qui nous aidera à numériser la langue kabyle et les autres langues.
Guerre et Paix. Comme le titre du chef-d'oeuvre de Léon Tolstoï. Un verdict pour l'humanité qui retrouve connaît un répit parfois, càd la paix, entre deux guerres. Et ce sont précisément ces deux mots, Guerre et Paix, que nous allons planter sur notre tableau ou croiser sur notre grille ou échiquier : Guerre sur la verticale (colonne) ; Paix sur l'horizontale (ligne). Vous voulez savoir ce que signifie aussi "Guerre et Paix" ? La surprise est de taille : Guerre & Paix = Alpha - Bêta = Alphabet Naturellement, à l'échelle égyptienne ancienne, tout va s'aligner sur Per-Ankh "maison de vie", c'est-à-dire, si on récapitule : Guerre - Paix= Alpha-Bêta, Alphabet= Per-Ankh Et c'est une découverte fantastique qui nous aidera à comprendre beaucoup de choses. Le croisement de Consonne-Voyelle donnerait une case syllabe, par exemple.
Et cette logique s'applique aux couleurs aussi, d'autant plus que dans notre cas Guerre et Paix (War & Peace) prendront respectivement la couleur Rouge et Verte, et leur mélange rouge-vert donnera du Jaune. On peut ainsi supposer que Per "maison" et Ankh "vie" en ancien égyptien pourraient avoir, outre le sens de Paix et Guerre, un rapport avec les couleurs : Rouge et Vert ?
Au commencement était le verbe, la parole... Eh bien, le Verbe est sur la Verticale (Colonne), c'est lui le Guerrier, le Belliqueux. Mais d'où vient alors le mot Guerre, Guerra en fr. et romanes et War "guerre" en anglois ? D'abord, le War anglois va logiquement s'aligner sur ... a-Wal "la parole" en kabyle ! Ensuite, il faut garder en vue ce rapprochement : GR grec-latin ~ L phénicien, kabyle, masri/arabe Grapho "écrire" en grec ~ Aleph en phénicien, Alfa et... éléphant en grec même, ileph "sanglier" en kabyle, etc...Eh bien c'est ce Grapho d'écrire en grec qui serait, I guess, à l'origine du mot Guerre, Guerra en fr. et romanes. Le vrai sens de Grapho pour Guerre serait le Glaive (d'où le "glaive de Dieu" chez les camarades khorotos religieux).
Banalités, on comprend que le terme lehna "répit, paix" en kabyle serait la ligne sur le tableau, échiquier, damier, grille, etc ; ou bien negh "tuer" en kabyle pourrait avoir une relation avec ankh "vie" en ancien égyptien. De même le terme harb "guerre" pourrait avoir un rapport direct avec harf "article, adverbe" en masri/arabe, les deux seraient une altération de Aleph phénicien, soit Alfa. Le alef, alif pour mille (1000) en kabyle, en masri/arabe et en hébreu renvoie à la colonne. Le russe glagol' "verbe" va naturellement s'aligner sur calcul ainsi que sur le nom Gregory, donc grégorien, et Krieg "guerre" en allemand et... Courage en français.
Et il y aurait même un nom derrière la colonne de notre tableau-échiquier relative à l'écriture : Georges, ainsi que Youri en russe C'est lui le Guerrier avec le glaive (un égorgeur St-Georges ?), mais aussi celui qui écrit (grapho). Drôle que le verbe écrire "arru" en kabyle, ou y'urra "(il est) écrit, le destin" sonne exactement comme Youra le diminutif du nom russe Youri, autre forme de Georges, comme Youri Gagarine par exemple ! Notre tableau ou échiquier peut-être comme un système de coordonnées 2D, où la ligne (horizontale) sera la Nuit : ankh "vie" en ancien égyptien ne serait pas à l'origine de Noche, Nuit dans les langues dites IE ?, et la colonne (verticale) le Jour. Ou bien, respsctivement, Pair - Impair pour ce système X, Y. On reviendra vers ce thème de Guerre et Paix dès que possible. A prochainement.
Happy New Year !- Eng. Bonne Année 2016 ! - Fr. С Новым Годом [s novym godom] ! - Ru. A-Sugas A-Megas !- Kab.
Le Nouvel An ? Un moment magique... pour les enfants. Et son symbole par excellence serait une baguette magique : un feu de Bengale, qui n'en a pas allumé durant son enfance ?
Pour cause de décalage calendaire, le Kabyle fête le Nouvel An "Yennayer" selon le calendrier julien, soit la nuit du 12 au 13 Janvier du calendrier grégorien, le Russe (orthodoxe) est dans le même cas de figure. On s'est souvent interrogé sur l'origine du mot Yennayer mais pratiquement jamais sur l'adjectif a-megas, a-megaz dans a-sugas a-megas ou assegas ameggas de "Bonne Année" en kabyle où seul a-sugas ou assegas "an, année" est clairement identifié. Que signifie a-megas, megas ? Ben oui, c'est lui le personnage central de tous les temps : a-meksa "le berger/pasteur", probablement Moïse (Moussa, Moishe) aussi avec son bâton magique. Et ce terme de berger/pasteur MX (meksa) pour Moïse est très bien implanté en kab : X ou ks (k aspiré) du verbe kes "paître" et pas seulement. Voici ce que cacherait le nom Moïse ou simplement a-meksa "le berger/pasteur" en kabyle :
- Ho Megas"Le Grand" en grec, par exemple pour Alexandre le Grand (Alexandros ho Megas) : c'est justement le même terme que l'adjectif a-megas dans a-sugas a-megas de "bonne année" en kabyle. On reviendra prochainement sur cette relation ; - Magnésie : le magnétisme, vous connaissez :), cette notion ne viendrait pas d'une ville grecque Magnésie mais de Moïse et du berger/pasteur en kabyle a-meksa. Par ailleurs, la relation avec la grandeur y est aussi : Magnus "grand" en latin tiendrait son origine de cette même source ; - Magie : Il fallit s'y attendre, un pasteur a-Meksa ou Moïse avec son bâton magnifique qui lui permit de réaliser de nombreux prodiges est simplement un Magicien. Ainsi, on a la relation suivant pour a-meksa "le berger/pasteur"/Moïse : Grand - Magnétique (aimant, magnifique ?) - Magie. Sur le terrain religieux, il faudrait voir le berger a-meksa/Moïse dans les Rois Mages, le russe volchebnik "magicien" serait clairement en lien avec les Volkhvy "Les Rois Mages" ; - Et enfin, Moïse peut-être, mais surtout a-meksa "le berger/pasteur" est clairement en relation avec thimèsfém.sing. "le feu" en kabyle. Ainsi on aura la chaîne suivant pour Moïse et a-Meksa "le berger/pasteur" en kab : Grand - Magicien - Magnétisme - Feu. Pour ce dernier indice, il s'agirait, sur le plan religieux, du feu sacré ou le saint-feu, et sur le plan pratique, le bâton magique que l'on brûle un jour de fête y compris durant les festivités du Nouvel An avec les inévitables feux d'artifice : un feu de Bengale.
Un simple berger avec un bâton a émerveillé l'humanité, dans son imaginaire du moins, et l'enfant allumant un feu de Bengale le jour du Nouvel An célèbre ce moment magique. C'est tout ce que je vous souhaite, chers amis : émerveillement et joie miraculeuse le long de toute la nouvelle année 2016, qu'elle soit Ho Megas : MAGIQUE !
Pour boucler l'année sur ce blog, voici un billet pas comme les autres. A vrai dire, les outils trouvés à Thagaste n'ont pas suffi pour prendre l'altitude nécessaire et survoler le plateau de Gizeh avec ses légendaires pyramides des Égyptiens anciens. Il m'a fallu revenir en arrière dans le temps pour tomber sur la bonne idée, la bonne image que voici (personnage en haut à droite) : c'est une peinture rupestre saharienne. La même idée est reproduite ailleurs, plus tard dans le temps, outre le fakir ou charmeur de serpent (cobra), c'est aussi celui que vous voyez sur la photo ci-dessous :
Oui, un souffleur de verre. C'est bon, on peut désormais s'attaquer aux pyramides ! L'hypothèse kabyle de pyramide = prisme, émise sur l'ancien blog (lien 1, lien 2) se confirme encore une fois : c'est la pyramide = verre. Mais revenons un moment à notre charmeur de serpent. Il y aurait une équivalence entre le z occlusif kabyle de a-zrem "serpent", le Z emphatique de a-ZRem "boyau, intestin donc tuyau/conduite", iZRi "la vue" et le P égyptien ancien + V et P en latin, en langues IE. A la limite, ces détails sont pour moi, suivez surtout l'idée que voici : Pyramide ~ Prisme, Verre, Serpent : onde magnétisme Voici maintenant une hypothèse "naïve" sur les Pyramides de Gizeh : Chaque Pyramide pourrait symboliser un phénomène céleste d'une époque précise, en l'occurrence l'Etoile Polaire : il y a 4800 ans, à l'apogée de la civilisation égyptienne ancienne, c'était Draconis dit Thouban "le serpent, tête de serpent" en arabe qui était l'étoile polaire. NB : Et s'il est question de magnétisme, ces pyramides pourraient être un indice de changement du champ magnétique ? Je suis sceptique là-dessus. On récapitule : Pyramide ~ Pôle (magnétique ?), Polaire, Polarisation (Prisme, Verre^) PYR ~ PLR C'est l'hypothèse de travail concernant l'aspect rationnel qu'il faudra étudier plus sérieusement.
Ce lieu, le plateau de Gizeh avec ses pyramides, aurait servi, à mon sens, de lieu de pèlerinage. Suivez bien le rapprochement et le calque d'une langue à l'autre : ZYR de ziyar "les pèlerins" en kabyle serait celui du verre évoqué plus haut et du pôle ; en persan aussi c'est ziyar "pélerins", alors qu'en masri/arabe ziyara c'est "visite" et c'est hadj; hedjadj pour "pélerin(s)" ... qui s'aligne sur zadjadj "le verre" en masri/arabe (d'où l'djadj "verre" en kabyle, a-zedjig "fleur" en kab). Ou tout simplement : Pélerin ~ Polaire, voire même pour l'anecdote, l'Ours polaire (blanc) d'où la (grande et) petite ourse pour l'étoile polaire ?
Sur le plan religieux maintenant. Le nom de la divinité qui nous intéresse porte la racine ZR ou SR et non PYR ou PR : OSIRIS C'est lui le plus grand pèlerin, le premier pèlerin. Et voici l'hypothèse de travail qui risque de bouleverser certaines "vérités" : - Quand vous regardez le plateau de Gizeh, sachez qu'il est fort possible que vous regardez une version ancienne, le version originelle de deux hauts lieux saints de pèlerinage, Jérusalem + La Mecque pris ensemble ; - On sait en quels termes les camarades religieux sémites, arabes-musulmans et hébreux-juifs, décrivent l'ancienne civilisation égyptienne : mépris et stigmatisation pour ne pas dire haine. Alors que leurs "oeuvres" divines seraient inspirés en grande partie par celles des anciens Égyptiens. Bon, voici une tuile sur la tête de ces camarades religieux plagieurs : OSIRIS ~ ABRAHAM avec le sens de "le Père de l'humanité" (le premier pèlerin/prophète) OSIRIS une divinité égyptienne est devenu un personnage "réel" des les religions monothéistes : le prophète Abraham. La fête du sacrifice du mouton (l'aid cobra :)), on la verra aussi probablement sur le plateau de Gizeh. Mais revenons à Osiris-Abraham. On peut supposer le parallèle suivant : Osiris - Abraham ; Isis - Sarah (épouse) ; Horus - Isaac (fils) : lignée juive, Jérusalem. Nephtys - Agar (épouse) ; Anubis - Ismael (fils) : lignée arabe, Mecque. (Permutation des fils et épouses comme autre hypothèse) Vous attendiez le père Noël pour la fin de l'année ? Ben, au final vous avez mieux, plus vieux et une barbe postiche en la "personne" d'Osiris, le père de l'Humanité, supplanté par la suite par Abraham-Ibrahim. Maintenant on imagine facilement que la racine SR/ZR est omniprésente à l'ouest de l'Egypte, en kabyle notamment. Une autre variante, à connotation masri/arabe, serait peut-être la même sur le fond, en référence au père de l'Humanité, Osiris puis Abraham ou plutôt au Sphinx de Gizeh : Sidi Abdrahmane, un saint protecteur en Kabylie (d'où la confrérie Rahmania), alors qu'à Alger Sidi Abderrahmane serait un personnage réel, le protecteur de la ville.
Une chanson au prélude vocal évocateur de feu Dda Lwennas sur l'opium des peuples pour vous souhaiter de bonnes fêtes de fin d'année. A bientôt !
Troisième et dernier volet de la trilogie chinoise. Après les billets "La Chinoise" et "Le Mandarin", nous allons voir un tout autre aspect de cette histoire. On saute du coquin à l'âme, ou plus exactement à ce qui fait vibrer l'âme humaine. La photo d'illustration ci-dessous vous permettra de deviner notre thème du jour, il vous faudra pourtant mettre un son sur cette image...
Le parallèle effectué dans les deux derniers billets entre le Chinois et le Portugais via l'orange/la porcelaine et entre le Mandarin et le Lusitanien via la mandarine, et en plus avec l'Andalous via l'amande, nous aura permis de comprendre l'origine de certaines choses ; là nous allons carrément discuter d'art, de la musique plus exactement avec à la clé un lot de surprises comme d'hab. Voici qlqs conclusions qui s'imposent : Le Lusitanien serait Le Musicien et voire même Le Gitan ; Muse de musée, musique serait en lien avec Luz "lumière" en portugais, Luz "amande" en masri/arabe et en kabyle (luz ou juj), c'est Luz dans les noms Andaluz, Lusitanie. C'est ici, dans le thème Andalous de Luz "lumière ou amande", que se trouverait très probablement l'explication du nom de la plus belle créature des mythes kabyles : la sublime fille aux cheveux de feu, Lounja. Ce mythe est d'ailleurs présent chez nos voisins maures-arabisés : Loundja bent l'ghoula "Loundja la fille de l'ogresse" en argot arabe, une adaptation du kabyle Lounja yellis Temza. Ce mythe tel que je me le rappelle renverrait probablement aux arts de table, voire même le rangement ou l'ordre, et Lounja serait une fille de palais : lire le post Lunja, l'étiquette. Son nom d'ailleurs, Lunja, serait en lien avec -unja de ghunja "cuillère, louche" et de nez aquilin a-ghenjur en kab, et l'on ne peut pas exclure que le prénom féminin kabyle contemporain Ouiza ou même Louiza soit une version récente de Lounja.
La porcelaine y serait pour qlq chose très certainement non seulement pour sa translucidité mais pour le "chinois", càd le son ! On l'a dit dans le post précédent, apfelsin (pomme de Chine) en allemand serait une autre forme de porcelanosa/porcelaine en romanes. Mais il y aurait, au moins, deux autres notions qui s'y apparentent : Porcelaine ~ Pur-Son ou un son pur ; Et plus étonnant encore : Sang pur ou Pur-Sang (cheval-étalon), comme le pur-sang arabe ou turkmène ; Et ici on trouve enfin une explication à l'étrange relation entre le cheval et la poire : la même racine 3WD/OUD désigne le cheval en kabyle (a-3wdhiw) - voir aussi Ludha "la plaine, les marais"-, la poire en argot nordaf (bou3awida) mais jamais en arabe et... le Luth en masri/arabe (3ud,Oud) pour sa forme de poire probablement. Une conclusion s'impose sur-le-champ : Luth~ Luz"lumière" (transparence ?) en portugais, Luz "amande" en masri/arabe et en nordaf, Luz de Lusitanie et de Andaluz (Andalousie).
Cette même racine 3WD mais sous une forme plus soft, aspirée, HWT, donne hout "poisson" en nordaf et ahewthiw "le poisson" (en général) et le verbe haweth "supplier, implorer", et en masri/arabe hawt "la baleine". C'est la forme de ballon du poisson et de la baleine surtout qui nous suggère que Baleine serait comme le Luth et Hout (poisson) comme Oud (luth). Par sa forme, la baleine, l'orque (sur la photo ci-dessus) ou le dauphin, rappelle... un porc (à mons avis, ça serait la chair de dauphin qu'il faudrait déclarer non-halal et non-cacher !), et sur le fond, ses capacités d'émettre des sons aurait inspiré les hommes : le chant des baleines aurait peut-être inspiré le chant des sirènes des mythes grecs anciens et... les youyous des femmes nordafes que l'on appelle thigrathin en kabyle (thighri étant "cri"), et à la différence des autres régions où les femmes arabes lancent des youyous la bouche ouverte, les femmes kabyles recouvrent légèrement (sur le coin de) la bouche d'une main pour des raisons esthétiques et acoustiques (battement de la main). On ne sait pas s'il y a une relation entre l'harpe et l'harpon pour la chasse à la baleine mais on imagine facilement le parallèle entre l'harpe ou l'instrument de musique à fils et les nageoires de la baleine. Le nom de baleine en russe, kit, serait peut-être lié à Kitaï (la Chine), encore la Chine ! Donc le son. Le terme baleine en fr. aurait peut-être un lien avec BLR de a-velar en kab pour "tout récipient en verre, cristal", supposé être un emprunt du masri/arabe beloura "le cristal"... et pourquoi pas avec hablar (avlare) "parler" en espagnol puisque là aussi il s'agit de son !
Vous imaginez, il y a des joueurs de glass music, du son de verre ! Vous avez sans doute entendu parler du cristal de Bohème en Tchéquie et entendu le son émis par le cristal. C'est que, surprise !, Bohème serait d'abord assimilée à la Baleine, le son de cristal à celui de la baleine (sirène). Et ce n'est pas fini ! La bohème, d'où le bohémien est comme le gitan, le lusitanien : un musicien errant. Peut-être un joueur de luth, ou de mandole, ou de toute autre instrument à cordes. Ou peut-être un fabricant d'instruments à cordes, comme le célèbre italien Stardivari. Il y a un peu trop de surprises dans ce thème. Les musiciens de Brême seraient aussi des musiciens de Bohême, des bohémiens simplement. Ainsi, le Luth va se retrouver dans Ludha "plaine, marais", helwedh "bouillie" en kabyle, et le parallèle s'impose: boloto (balota) "marais" en russe va lui aussi s'aligner sur le Luth. Et tous les trois vont s'assimiler au... Litre. Le terme kabyle a-3atar "le mendiant" serait le même que guitare en fr.- voire même que osetr "esturgeon" et ikra (caviar) en russe -, et la3tar "le musc, le parfum" en argot arabe nordaf, et les noms d'instruments de musique tels que a-mendayer, a-vendir ou bendir + la mandole dans toutes les langues renvoient au mendiant, à l'aventure, voire même au ventre (plein) !, et au parfum, à l'essence (de bois ?), d'où le lien : Luth-Luz ~ Musc (parfum), Muse
Vous voyez sur la photo ci-dessus un véritable bohémien, mais aussi lusitanien, gitan, tsygane. Le terme même cigaleen fr. serait en lien avec tsygan (gitan). La cigale est appelée warzagen en kabyle pour RZ emphatiques de rez "casser, briser" ou RZG de rzag "amer". Et l'on comrpend que Xylo "bois" en grec de xylophone pourrait avoir une relation avec XL ou KSL de kisly "acide" en russe. On y voit aussi de la translucidité des ailes de la cigale, donc du verre, donc du son. La cigale est réputée être un vrai casse-tête pour le vacarme incessant qu'elle produit. C'esy l'idée du casse-tête...chinois. C'est aussi l'idée donc d'un labyrinthe. Et au final, c'est l'idée du musicien-mendiant-bohémien ou de luthier ou de tout joueur de mandole. C'est simplement le Minotaure ! La musique aurait ainsi trouvé sa place sous forme de cette parabole chez les anciens habitants de Crète. Notre entourage est surtout un royaume de Oud (Luth) et de Centaure, alors que la Kabylie est une république de Mandole, l'instrument prisé par nos maîtres et nos amateurs et artisans (1, 2, 3). C'est que le Oud (luth) serait un Centaure, un instrument de cour, de musique de chambre, alors que la Mandole serait le Minotaure, un instrument plus "démocratique" des musiciens des rues, des musiciens libres.
Mais d'où vient le terme kabyle Nitra pour désigner la guitare ou la mandole ? Nitra est peut-être une version kabyle de Litre ou même de Citron ou Centaure. Mais l'hypothèse la plus plausible serait celle qui voudrait que la Nitra kabyle soit simplement... une Note de musique. Il y a au total 7 notes de musique, les 7 muses du bohémien.
... Et Les Filles. Ce billet est un post scriptum du précédent intutilé "La Chinoise". Bon, pour l'orange chinoise et portugaise c'est réglé, c'est maintenant le tour de la mandarine et du mandarin chinois.
Le mystère de qui étaient vraiment les mandarins de Chine va peut-être enfin élucidé. On a évoqué le lien établi entre Chine et Portugal pour l'orange (lire le billet précédent), on va refaire le même coup mais cette fois pour la mandarine et pas seulement la mandarine. Mandarine ou mandarin en relation avec la Chine pourrait renvoyer à la forme d'Amande (mindal' en russe), voir même de mongole. Et voici que la relation Chine-Portugal se reconfirme : (Orange appelée tchina "Chine" en kabyle, portokali "Portugal" en grec) Amandarine ? Amande : Mandarin pour le "Chinois", Luz "amande" en kabyle, en masri/arabe qui rime sans doute avec Luzitanie comme Luz "lumière" en portugais pour la Lusitanie, l'autre nom du Portugal. Bref, un Mandarin de Chine vaut un Lusitanien du Portugal avec la fonction en moins.
Luz d'amande nordafe, luz en portugais (prononcer "louche") pour "lumière" serait plutôt à une autre contrée ibérienne que la Lusitanie, la province des Lumières : Andaluz ou Andalousie., on comprendrait mieux alors la relation Mandarin ~ Andalous (au lieu de Lusitanien) car on parle d'une caste de gens raffinés, lettrés, des scientifiques probablement pour la plupart. On aurait pu s'arrêter là, mais le billet précédent conernant "La Chinoise" pour l'orange nous incite à ne pas exclure la version "génitale", encore une affaire de cul ! (on n'est pas pervers si on en parle :) L'Amande (mandarine) pourrait être associée à la notion d'Amant. Et là on ne sait pas si le Mandarin est amant qui va voir sa maîtresse "la chinoise" ou... son amant, le cas échéant la pédérastie chez les anciens Grecs aurait survécu en Chine :) Mais est-ce que cela veut dire que Mandarin, Lusitanien et même Andalous veut dire homosexuel ? Rien n'est moins sûr.
Surtout qu'en Afrique du Nord l'amande, Luz, comme tous les noix, comme un aphrodisiaque (rokba en algérois) et le gâteau miel-amande algérois qalb el-luz"coeur d'amande" en arabe serait le cadeau parfait d'une maîtresse à son amant. L'amande pourrait symboliser les testicules, qui sait, donc attester la virilité. Je pense qu'il s'agirait avant tout d'une affaire de noix quant à cet indice de pédérastie chez les Grecs anciens et au soupçon de même nature sur le Mandarin de Chine. C'est l'amande pour le Mandarin de Chine et le Noyer commun, qui rappelle le cerveau humain (voir image ci-dessus), dit greztsky orekh en russe quasiment "noix grecque". Luz, juj en kab et Luz en arabe nordaf pour l'amande, Luz (louche) "lumière" en portugais indiquerait le lien entre noix-noisette et luz, luzette de "Lumières", de Savoir et probablement de Cerveau. On peut voir, bien entendu si on est pervers épris d'affaires de cul, deux fesses dans ces deux hémisphères, mais le bon sens nous dit que ce sont deux hémisphères d'un cerveau humain : la pédérastie chez les anciens Grecs ne raconterait-elle pas autre chose, de plus sain, càd en rapporta avec la science et le savoir ? Au final, le Mandarin comme l'Andalous (là le Lusitanien s'y perd un peu) serait synonyme de cerveau et de Lumières. Tant mieux !
... Et Les Garçons. Le Français l'assimile à un félin, le Kabyle à un canidé. L'orange pleine de jus est le fruit le plus prisé des garçons. Et naturellement ils aiment les chinoises, les grands garçons ! Voici pourquoi.
On prête trop d'inventions aux Chinois, je l'ai déjà dit il me semble. Voici une liste non exhaustive de ces inventions made in China : - L'Empire du milieu : ça serait aussi valable pour l'Egypte ancienne au sens de "Pays du milieu" comme interprétation de "Double Pays" (Basse et Haute Egypte) et de "Saint Empire" ; - La Soie ; - L'Orange : ce fruit est désigné Tchina en kabyle et en argot "arabe" nordaf, il appelé portokali en grec et burtuqal en arabe en référence au nom Portugal, soit disant les marins portugais auraient été les premiers à importer et répandre dans le monde l'orange d'origine chinoise (hugh !). Vous avez goûté ou, au moins, vu une orange made in China ? Moi non, jamais. C'est que l'orange ne serait pas originaire de Chine tout simplement, et la légende qui lie la Chine, le Portugal à l'orange sera expliqué plus loin ; - La Porcelaine : les Brits disent China, en référence à la Chine donc, pour la porcelaine dont l'étymologie renvoie à... la truie, à la vulve de la truie plus exactement. C'est cochon comme thème, je vous le dis !, non sans risque d'offenser la pudeur de certaines personnes.
Alors, les gars, à votre avis, pourquoi presque tous les garçons veulent toujours voir et conquérir le mont de Vénus mais peu manifestent un quelconque intérêt au Mont Blanc ou au mont Everest ? En réalité, comme disent nos voisins libertins du nord, les Français, tout ça est une histoire de cul ! Pas au sens propre, bien entendu :) La Chinoise, tchina en kab pour l'orange ou china en brit/anglois pour la porcelaire, c'est la relation suivante : China ~ Orange, Porcelaine ~ Vulve, Vagin Donc l'orange "tchina" pour Chine serait génitale. La Tchina "chine" pour l'orange en kabyle et en argot "arabe" nordaf est le même terme que hatchoune "le vagin" dans toutes les langues nordafes et même en orient. Le "petit nom" du vagin, la petite soeur chez nos voisins nordafs maures arabisés, la chatte pour le Français, et thushent "femelle de chacal ou de renard" au sens propre et "la rusée" au sens figuré en kabyle tient aussi de la même racine "chinoise" comme l'orange, sans doute pour la couleur rousse. C'est peut-être elle la pomme d'or du jardin des Hespérides. En Europe, la Vulve (et le Vagin) est sans dite assimilée aussi à un canidé, à la Louve (la louve capitoline aussi ?), une bitch-wolf en anglois, et peut-être même que l'ukrainien bulba "pomme de terre" serait issu de cette vulve, et l'allemand kartoffel "pomme de terre" repris en russe serait une verlanisation de portokali "orange" en grec et apfelsin "orange ou pomme de Chine" une altération de porcelaine. Il serait intéressant d'étudier la piste de Vulve (et vagin) au sens de Matrice, de mère de la nation comme le cas de la louve capitoline.
L'orange douce, vous l'aurez compris maintenant, est le fruit le plus prisé des garçons. Restent qlqs questions à élucider quand même : - Quelle différence entre la "chinoise" (tchina en kab) et la "portugaise" (portokali en grec) pour désigner l'orange, et pas seulement l'orange comme on vient de le voir, mais aussi la vulve ? La "chinoise" car bridée et épilée ? et que serait alors la "portugaise", une orange non épluchée ?! ; - On sait que la mandarine est aussi associé à la Chine, le mandarin était-il un eunuque version chinoise ou carrément un gay (eh oui il n'aime pas les oranges !) ? J'ose même pas imaginer ce que serait l'être associé à la clémentine, hybride né de la main d'un Français Clément assez récemment à Oran :))) ; - Le fameux jardin des Héspérides serait-il le plus vieux lupanar du monde avec des "lanternes oranges" bien avant le quartier rouge d'Amsterdam (c'est pas beau du tout, plutôt dégradant et dégoûtant) ? Ou peut-être était-ce le lieu de production de la lointaine voisine de la fameuse Orangina de Boufarik ?
Allez, les gars, consommez de la bonne chair d'orange sans modération, elle serait pleine de vitamines paraît-il et c'est tout bénéf pour la santé surtout en hiver !