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vendredi 7 août 2015

Michelangelo, les belles jumelles

Alexandre le Grand,
L’irrésistible ascension ...
 

Jamais l’envie n’a été aussi forte d’embrasser les deux sœurs jumelles et de donner ainsi l’accolade au pays pluriel que les hordes d'ennemis ne pourront jamais soumettre.
On revient au thème précédent de Haute-Egypte vs Basse-Egypte ~ Ville Ancienne vs Ville Nouvelle, par ex. Leptis Magna vs Leptis Minor à l’époque punique et romaine. 

PETRA
La superbe cité nabatéenne de Petra, aujourd’hui en Jordanie, est un probablement l’un des plus beaux sites du patrimoine mondial, et il a ses équivalents ailleurs, y compris en Kabylie :
Azrou n T’Hor ou Le Rocher du Zénith est certes un simple mont sans aucun élément d’architecture certes beau mais prémédité, c’est un lieu de pèlerinage tout comme Petra ou la basilique de Saint-PIERRE au Vatican au titre de « ville Ancienne /Haute », etc. Il est même probable que le t’Hor (soleil au zénith) en kabyle, et le terme proche en masri/arabe dohr je crois, soit Horus de l’ancienne Egypte dont l’antipode est Seth.


ZENITH
En fait, les choses commencent à s’expliquer d’elles-mêmes. Ainsi, on voit bien que l’opposition Ville-Ancienne vs Ville-Nouvelle, Haute-Egypte vs Basse-Egypte, etc., peut être l’opposition du point en Amont vs point en Aval ou le point le plus Haut vs le point le plus Bas que ce soit par rapport à cours d’eau ou autre :
Zénith vs Nadir
Il est dérisoire de prétendre que ces deux termes sont d’origine arabe, et l’on verra pourquoi plus loin dans le texte. Prenons la « tête » ou le Zénith. On trouve les traces et surtout les explications de ce terme « zénithal » en kabyle surtout mais aussi dans l’argot « arabe » nordaf et même en Ibérie.
Zénith serait probablement en relation avec le terme Zyn (beauté) utilisé en kabyle et en argot « arabe »  nordaf (la variante arabe classique est gamal pour beauté) ; le terme kabyle (berbère en général) très présent en toponymie, Thizi (Tizi) « Col » (qui s’apprête donc pour la notion de Zénith), qui indique surtout la « croisée des chemins », le « point de retour », etc, serait dérivé de ce Zyn. Ce préfixe Zyn dans le prénom Zinédine devrait avoir Gamal (Djamal) comme équivalent en sémitique-arabe, comme on l’a expliqué dans les billets précédents et, surtout, il serait l’équivalent de ce qui suit :
- Alex, alexo « repousser, défendre » en grec dans Alexandre : très probablement, le terme argaz (homme, vir) en kabyle et en berbère serait lié à Alex, idem pour le terme arabe ragel/radjel (homme, vir), les trois Alexo en grec, argaz en kabyle ou ragel en arabe seraient simplement l’Archer, radjel/ragel en arabe est quasiment le même terme phonétiquement que Archer et surtout Radja en hindou pour Maharaja (grand roi), Rex (roi) en latin et… à Eros en grec et Rash (ras) « tête » en phénicien et en sémitiques d’où raïs (président).
- Lux en latin, Luz en portugais pour « lumière » ; lutch (rayon de lumière, arc) en russe d’où lutché (mieux, meilleur ou best/better en anglois) : juste pour mieux comprendre notre entourage, ce préfixe « meilleur, le plus brillant » est Zyn en kab (ex. Zinédine) et en argot nordaf comme dans le tunisien Zyne El-Abidine réplique exacte de Anouar en arabe/masri dans Anouar es-Sadate « le meilleur/le plus brillant des hommes » et ça serait peut-être bien une traduction du nom Alexandre (de Macédoine).


AMOUR TOUS AZIMUTS !
L’équivalent de Sidon du Levant (Saïda au Liban) est Zemmouri en ex.Kabylie (dans l’Algérois) avec l’olivier, un socle identitaire kabyle, comme élément de relation : zeytoune en arabe vs a-zemmour en kabyle. Je suppose que la variante sémitique zeytoune (olivier) est liée à la notion de sagita (flèche) en latin dans Sagittaire et, bien entendu, à Sayad (chasseur), seyed (seigneur) en arabe.
A vrai dire, je ne sais si c’est l’Arc ou la Flèche la symbolique du « meilleur, plus lumineux, roi » et de l’olivier, mais une chose est sure : ZMR de a-zemmour (olivier) en kabyle serait lié au nom de Amour rebaptisé Cupidon en latin et Eros en grec (qu’on a rapproché de Alex plus haut) du mythe d’Apulée de Madaure, Dda Apulée. Et c’est Amour qui aurait donné la notion de Pays, patrie, etc en kab : Thamurth (Tamurt, les « t » étant les affixes du féminin).
Le plus rigolo dans tout ça est que le kabyle a-zemmour (l’olivier) pourrait être rapproché du terme azimuth, puisque nous sommes dans les notions de Zénith vs Nadir, pourquoi pas !


SETH & ANZAR
De même, Zyn de « beauté » qu’on a vu plus haut serait lié… à l’huile d’olive et pas seulement. Le terme zyth en kabyle, aceito en espagnol/portugais, zeyt en arabe seraient en réalité des variantes plus récentes d’un nom de divinité égyptienne liée à la Basse-Egypte : Seth symbole de la Haute-Egypte (blanche). Et c’est Seth des anciens Egyptiens qui aura donné Poseidon chez les Minoens et les anciens Grecs.
L’avantage pour la Kabylie est que nous sommes les seuls dans notre entourage à avoir sauvegardé le mythe d’Anzar et de sa fiancée « arc-en-ciel », à posséder la « lampe merveilleuse » de lampe à huile d’olive de la mariée comparable à celle des Minoens depuis disparus, et à avoir comme capitale Végayeth, la Bougie étroitement associée aux Chiffres et aux Suites depuis Fibonnacci. Lorsque vous prenez Petra en Jordanie, plutôt son appellation en arabe actuelle « la bariolée » avec RQM qui désigne aussi le numéro, le chiffre raqem en arabe, vous comprenez rapidement que l’arc-en-ciel du mythe kabyle d’Anzar serait une clé pour comprendre l’origine du Zéro, des Chiffres et que… la Suite serait probablement les noces d’Anzar ou simplement la mariée d’Anzar, th-isly-th « la mariée » (isly étant « le marié »).

SENAT
Cette foison d’indices empêche parfois de se concentrer sur l’essentiel, essayons d’y remédier. L’idée principale est toujours la même : la dualité, l’opposition Grand vs Petit, Majeur vs Mineur, Ancien vs Nouveau, Haut vs Bas, Zénith vs Nadir, ex. Haute-Egypte vs Basse-Egypte et donc Blanc vs Rouge, Seth vs Horus qui serait dans la version grecque Poseidon vs Eros (à vérifier).
Horus « le rouge » aurait peut-être donné outre Eros en grec, 3arous (marié) en arabe - Isly en kabyle - et 3ars (noces) dit zouadj en kab proche de zoudj (paire, deux) en arabe : 2 en kab étant Sin au masc., Snath au fém., ne serait-il pas une forme altérée (L en N) de Isly, th-isly-th (marié, mariée) ou est-ce l’inverse ? Le N serait probablement un marqueur latin et on verra pourquoi un peu plus loin. Isly (le marié) et Thislyth (la mariée) ne doivent-ils pas être forcément beaux, donc « blancs » comme c’est d’ailleurs la tradition en Kabylie et partout dans le monde ? Ce blanc ne serait-il pas un « blanc immaculé » donc un symbole de virginité, ce qui est aussi vrai dans le cas kabyle ?
Blanc vs Rouge, Haut vs Bas ou Zénith vs Nadir, du point de vue religieux, donnerait Ascension vs Descente ou plus exactement Ange ou Messager (qui peut encore descendre du ciel vers les hommes) : le Maharaja des Hindous se lit naturellement dans Messager ou le nom du dieu romain Mercure (Hermès en grec), et les termes radjel (homme) et rassoul (messager de Dieu) en arabe seraient peut-être de la même racine.


Un virage maintenant pour aboutir sur une chose étonnante. La cité-république kabyle, le village kabyle, possède son agora (thajemayth) pour chaque adhrum (quartier), son assemblée thejamayth du village (l’djama) et dans certains cas l’djama (la mosquée) du village. La relation étymologique de la racine de GM de l’djama, etc. en kabyle avec le masri/arabe est indéniable, et j’ai même une bonne expication pour les camardes sémites concernant la « gamma » GM de beauté et de chameau GML (djamal, djamel) : Beauté et la gamma, la racine présumée sémitique GM riment avec Jumelles tout simplement ! La paire, 2 ou jumeaux/jumelles auraient une relation directe avec l’organisation politique :
- KN kabyle de akniwen (jumeaux) serait la même racine que KN de knesset en hébreu, église en latin, etc. ;
- GM emprunté par le kab aux sémitiques pour thajemayth, l’djama (assemblée) ;
- Snath « deux » (fém.) en kabyle porte la marque de Sénat ! Et ça peut-être aussi le Synode. Et le Sénateur pourrait être le Sagittaire (lien par sagita « flèche » en latin) au sens de Sage : le Sénat est le Conseil des Sages, chez les abrutis islamistes madjlis echouyoukh (m-gls de gls « assis » vient du même terme que église, cheikh serait peut-être Seth l’égyptien ancien) : le terme kabyle senedh « s’adosser » s’applique impeccablement à ce Sénateur « assis et adossé » (donc trône, chair ?) à la différence de celui qui est simplement « assis » (congrès) ou debout. Le Sénat serait le Zénith. La notion de « vieux sage » ou « grand oracle » en kabyle a-mghar a-zemni porterait l’indice de Sénateur.
Ahurissant, n’est-ce pas ? Et l’on conclut que Haut vs Bas pourrait prendre la forme de Pair vs Impair, de même Zénith vs Nadir prendra la forme de Sénateur vs Congrès (en kab : Thejemayth vs Agraw). La couleur rouge du Sénateur, comme la couleur pourpre du Phénicien qui est celui du Bas (villes côtières) ou de Végayeth, la capitale kabyle, s’explique par Horus « le rouge », qui aurait donné probablement non seulement Hermès, Eros en grec mais le rouge en langues romanes. Ce schéma reproduit en Kabylie, donnerait les deux jumelles : Haute-Kabylie vs Basse-Kabylie, ou Montagne vs Mer, Village vs Ville, Congrès vs Sénat (à Végayeth/Bougie probablement).


FUSEE
C’est quasiment une explication anecdotique, la mosquée en arabe masdjid se décompose facilement préfixe M + SGT de sagita (flèche) en latin. Ce n’est pas pour rien qu’on appelle les mosquées des fusées (qui ne décollent jamais, comme one le sait, figées qu’elles sont !). Donc un lieu de culte, mosquée en l’occurrence, est associé à une flèche-bougie, source de lumière ; on est carrément à côté de la plaque en ce qui concerne l’Algérie qui impose ses mosquées à la Kabylie car ces lieux de culte sont avant tout une source d’obscurantisme par excellence. Les vrais Lumières associés à la bougie se trouveraient dans le sens de « Université » probablement ou « Assemblée ». On y reviendra un de ces quatre. L'obélisque ne serait-il pas la "fusée" des Egyptiens anciens ?

La fusée des Anciens serait la Bougie de la ville des Lumières comme Bougie en Kabylie et, bien entendu, le Phare de la ville des lumières Alexandrie en Egypte des Lagides. Peut-être que l'ancien phare d'Alexandrie n'est pas sous les eaux mais il serait devenu tout simplement une "fusée", càd une église copte ou plus probablement une mosquée musulmane ? 
La racine GM de Gamma qui a donné beauté et chameau en sémitiques, et celle-là même que l'on utilise pour l'assemblée et le temple (mosquée) en kabyle l'djama/thajemayth serait celle de la bougie en masri/arabe Shamu3a autre variante de djumu3a (vendredi), un indice de Vénus "phanal" pour Vendredi jour de rassemblement : il s'agit plus de lanterne, lampe, phare (dit al manar en arabe calqué sur le grec phanari ?) avec le sens d'éclairer, avenir plus que de bougie proprement dite. On y reviendra.
ALEXANDRIA
Cap maintenant sur la ville des Lumières du temps de l’Egypte des Lagides : Alexandrie. Vous savez, notre dualité peut s’exprimer outre par Ancien vs Neuf, Amont vs Aval ou Zénith vs Aval, par Set (sunset) vs Rise (sunrise) en anglois  ou (sens) Décroissant vs Croissant et, bien entendu, Ville-sur-Roc (Petra) vs Ville-sur-Mer pour l’opposition Ancienne-Ville vs Nouvelle-Ville comme. Prenons Alexandria maintenant pour lui trouver des versions plus récentes ou plus anciennes dans d’autres langues :
Alexandrie « ville-nouvelle » comme Leptis Minor et… Médine « mounouwara » (illuminée) : Minor en latin est visiblement très proche de nour (flamme, lumière) en sémitiques comme dans mounouara en arabe ou Ménorah en hébreu.
Dans le nom grec d’Alexandre ayant donné Alexandrie, il y a Alexo qu’on a vu plus haut, et ἀνήρ (aner) « homme » en grec qui serait en relation avec nour (lumière, flamme) en sémitiques et avec le kabyle anyir (front, synonyme de thawenza « front, destinée ») et anir (ange) ! Alexandrie « ville-nouvelle » est la ville des Lumières et aussi ville des anges et très probablement la ville de la Renaissance.
J’ai partagé avec vous, il y a un moment, mes doutes quant à l’existence d’un personnage réel avec ce nom d’Alexandre le Grand que j’aime plutôt bien. Voici ce que veut dire le nom de Mégalos Alexandros ou Alexandre le Grand :
Archange Michel.
Megalo (grand) en grec serait d’ailleurs comparable non pas à a-muqran « le grand » en kabyle mais a-megaru (le dernier, l’ultime) qui expliquerait que Mégalo voudrait dire non seulement le Grand mais le Dernier (envoyé des messagers de Dieu). Autrement dit, Alexandre le Grand est un personnage religieux, son histoire serait donc un mythe.
Et l’autre forme, l’autre nom d’Alexandre le Grand a été reproduit dans le nom d’un personnage très connu de la Renaissance italienne : Michelangelo ou Michel Ange.
 

MEDINA
Vous avez bien encaissé ce coup ? Très bien, voici maintenant qlq chose de plus léger. Comment dit-on l’étranger (le pays étranger) en kabyle ? thamurth n medden « le pays des gens », forme calquée en argot nordaf « bilad anass », le bled des gens ! D’où vient à votre avis madina (médine) « la ville » en arabe ? Il est simple de comprendre que c’est M+DN et que le préfixe M de ce genre en kabyle est une influence sémitique (arabe) ou égyptienne masri/arabe plus probalement ; la variante kabyle proche de la variante latine ou grec donnerait ça pour a-medhan (homme, un être), medden (les gens) équivalent de insan/nass en arabe qui sont liés à… l’oubli nsa, et qui seraient peut-être en relation avec ness (décroissance, extinction, donc probablement le « couchant » en kabyle) et phénicien : NS ici serait celui de Vénus dans le sens de « éphémère » et non pas oubli. On approfondira ce thème une autre fois. Revenons au MDN de l’être/homme en kab que l’on voit dans médina « ville » en arabe :
M+DN (medina) en arabe = N+DR (anthro ou anthropo « être humain ») en grec mais aussi en kab pour DR de vie, protection, village, etc. Vous avez oublié un peu l’antipode du zénith ?
Médine (MDN) = Nadir (N+DR) : l’arabe prétend être l’inventeur des 2 mots, mais quel culot, quel insolence ! C’est la preuve même que la langue arabe est une langue de synthèse qui a racolé large. Tenez, le QR de qariat (village) en arabe est comparable au DR kabyle du village/vie (thadarth, der) ; or, cette racine QR est celle de tête a-qaru en kabyle et de crâne en langues IE et je présume que la Tête (rash en phénicien ou ra1s en arabe) est l’opposé du Pied :
Zénith vs Nadir = Tête vs Pied (adhar en kab, avec DR comme racine)
L’explication ? DR est la racine de l’homme, l’être vivant (mortel), tandis que la tête ou ce qui est au-dessus de la tête (aura ?) serait celle d’un saint, autrement dit :
Zénith vs Nadir = Saint vs Homme (être vivant) ou Constante vs Variable.
Les hommes se rendent en pèlerinage pour visiter les saints, et non pas l’inverse. Comme dans le cas de Petra ou d’Azrou n T’Hor en Kabylie, le formule suivante « Haut vs Bas = Lourd vs Léger » explique pourquoi Lourdes, haut lieu de pèlerinage pour les Français, porte bien son « lourd » nom !
Concernant les toponymes des villes, QRT de Cirta est idem à celui de Constantinople pour « Constante » (Ancienne) alors que la ville d’Alexandrie est pour « Variable » (Nouvelle).
Il y a une autre interprétation de cette dualité :
Zénith vs Nadir = Saint vs Homme = Sortie vs Entrée ou Nuit vs Matinée (la médina ?)
L’entrée serait-elle la Naissance ou la Renaissance, plutôt la deuxième surtout dans le cas d’Alexandrie.

THIZIRI
On a beaucoup parlé de Lumières dans ce billet, et je ne pouvais pas partager avec vous cette douce découverte. Je vous disais qu’en germanique la lumière était associée au léger. Les Kabyles ont perdu beaucoup de territoires ces derniers siècles, et comble de l’injure, Alger est devenue le symbole de l’oppression de l’identité kabyle. Mais quand les khorotos crient « One-two-three viva l’Algérie », ils sont loin de savoir qu’ils crient à la gloire du nom kabyle d’Alger, de la princesse clair-de-lune Thiziri ! Alger la blanche est Thiziri, c’est une marque déposée et l’usurpateur ne pourra pas l’effacer des mémoires !
TZR de thiziri (clair de lune) en kab = LGR de léger en romanes/latin + light/licht (lumière) en anglois/allemand, Lux (lumière) en latin, Luz en portugais, Lutch/Luk (rayon de lumière/arc) en russe, etc. Et les Européens sont loin de penser que Lune, Luna peut-être Lugna, Luxna ou carrément la plus belle, la belle Hellène, et dans notre cas, la fille de Cléopatre, Séléné (lune en grec) enterrée à Tipaza (« tombeau de la chrétienne »). Le kabyle différence la Lueur (clair de lune) donc réflexion de la lumière proprement dite (tha-phath); Les Lettres y sont aussi. On y reviendra.

Dda Lounis nous offre carrément l'Hymne de la Renaissance dans cette oeuvre qlq peut mal connue ; on dirait Aristote qui prépare son Alexandre le Grand pour l'irrésistible ascension.
                                                            Fillettes kabyles en habits traditionnels kab. 
Le pays kabyle se conjugue au pluriel : le pays des Kabyles, composé de deux parties : la Haute-Kabylie et la Basse-Kabylie - exactement de la même façon que l’Egypte ancienne, remarquons-le -, deux sœurs jumelles canons de beauté, telles Blancheneige et Cendrillon, la Lune et Vénus. Jamais le bâillon de l’usurpateur ne fera taire les justes ; jamais son obscurantisme n’éteindra nos Lumières ; jamais sa bassesse n’atteindra nos sommets ; jamais ses hordes n’empêcheront la marche irrésistible de notre peuple vers sa Renaissance ; l’usurpateur qui enterre notre présent de notre vivant ne fait que faire ressurgir notre passé qui nous indique le chemin de notre avenir, notre histoire pour nous donner des ailes, de l’abnégation et du courage pour l’ultime élan de l'accolade fraternelle et de l'étreinte éternelle de notre chère patrie en jurant de protéger Nos Deux Jumelles Kabyles, toujours vivantes et demain rayonnantes grâce à la générosité sans exemple de leurs filles et fils et par la grâce du Créateur. Avis aux ennemis des 2 belles jumelles : we'll defeat you, comme disait il n'y a pas longtemps El hadj Obama :)