Suite du billet précédent "La cité".
On peut probablement continuer à trouver de nouvelles et nouvelles interprétations de l'hiéroglyphe O49 de la croix dans un cercle de "ville" en ancien égyptien : place, banque, etc. Cependant c'est en Chine que j'ai pu trouver le reflet exact de cet hiéroglyphe :
La croix dans un cercle serait très probablement le centre du Pouvoir.
C'est la Cité interdite avec référence à l'étoile polaire.
C'est le Pôle apparenté à la notion de Pouvoir (puissance, force ?).
Il y a 4800 ans, à l'apogée de la civilisation égyptienne, c'était l'étoile Alpha Draconis l'étoile polaire, c'est probablement elle qu'il faudra chercher dans cet hiéroglyphe et dans la racine, d'Hydre probablement, /DR/ évoquée dans le billet précédent. Cet hiéroglyphe est, tout comme le Teth phénicien, une roue : normal, l'étoile polaire est un carrousel !
Question fondamentale : devons-nous nous limiter à trouver des valeurs phonétiques aux hiéroglyphes égyptiens, ou serait-il plus raisonnable de chercher plus loin les notions contenues dans certains hiéroglyphes ? Je penche pour la deuxième solution, a fortiori après avoir étudié toute la consistance potentielle de l'hiéroglyphe O49 ci-dessus.
Les hiéroglyphes égyptiens ont été développés par des hommes d'une autre époque que les hommes de notre époque ont mis du temps à comprendre. Et pourtant l'homme moderne a été contraint, à un moment donné de son histoire, de faire exactement ce qu'avaient fait les anciens Égyptiens : dessiner des symboles (des hiéroglyphes) pour composer le message envoyé dans les étoiles et destiné, chose inédite cette fois, aux extraterrestres. C'est la plaque de Pioneer lancé en 1972-73 vers l'espace.
C'est une image, des symboles sans valeur phonétique.
Alors pourquoi est-ce que les hiéroglyphes, du moins certains d'entre eux, disons des "hiéroglyphes fondamentaux", ne véhiculeraient-ils pas une multitude de notions, d'indices qui dépasserait de loin leur valeur phonétique ?