Le Quiz Existentiel
On est toujours obligés par les circonstances de décliner son identité, par politesse ou pour satisfaire la curiosité des autres. Un rituel si banal que l’on en a oublié la consistance, càd les mots et les prépositions qui les cimentent… et de se poser à soi-même la question : qui suis-je ? Suis-je vraiment celui décrit par les autres ? Mon peuple est-il celui que les autres m’ont désigné ? C’est une question existentielle : to be or not to be, ou l’amour de la patrie, de la vérité du peuple et du Créateur.
Les réponses sont venues, pour moi, de la simple proposition bW/pW « de » en kabyle qui atteste l’origine, l’appartenance, le génitif (bw-ada, bwAnzar, bwulan ?). Cette préposition est, entre autre, une « fève », une « Eve », une « Fée », un « point », un « iota » et donc la forme « F » du iota phénicien, une forme de clé (qui ouvre la sublime porte ?). On reviendra à part sur ce sujet. Elle permet aussi de comprendre et de démontrer que l’écriture masri-arabe est bien descendue du démotique et/ou hiératique, versions simplifiées des hiéroglyphes égyptiens. Il n’y aurait jamais eu de rupture entre l’Egypte ancienne et l’Egypte dite « arabo-musulmane »…
Vous vous souvenez ce que l’on a dit à propos du « binaire égyptien » ancien ? N’a-t-on pas apparenté Per-Ankh « maison de la vie » à l’alphabet, les écritures « alpha-bêta », à l’opposition « guerre et paix », etc. ? En voici 4 autres nouvelles :
Per-Ankh : Être et Avoir, le Fond et la Forme ; la Renaissance ; Le livre de la vie.
Maintenant le Quiz…
A – Quel drapeau moderne ici en version très ancienne égyptienne voyez-vous sur l’illustration ?
1. La bannière d’une République bananière ;
2. Le pavillon des pirates de la mer morte ;
3. La version deep rustique du drapeau de la Turquie, dernier empire musulman (disloqué depuis).
B – Quelle symbolique a remplacé le Per-Ankh (demi-rectangle de fond contenant une croix ansée de forme) ?
1. La faucille et le marteau des prolétaires ;
2. Le Jolly Roger ;
3. Etoile + Croissant, symbole du monde musulman.
C – La « khamsa » (5) de Fatma se trouve dans le mot (et le symbole correspondant)… ?
1. Fond ;
2. Pas de réponse ;
3. Forme.
D – Les Egyptologues modernes N’ont PAS retrouvé… ?
1. La momie de Ramsès II ;
2. Le Livre des Morts ;
3. Le Livre des Vivants.
E – Le binaire Per-Ankh « maison de vie » des anciens Egyptiens aurait probablement subi un « rebranding » pour devenir l’appellation moderne suivante :
1. Le Talmud ;
2. La Bible ;
3. Le Coran (Al Qur'än).
F – L’appellation ancienne de l’Egypte en hébreu Mizraim (Misraim), puis Masr, Misr en masri-arabe et repris en kabyle, pourrait probablement s’apparenter à… ?
1. Sarassins ;
2. Troglodytes ;
3. Muslimin ou muslims/musulmans.
Par ailleurs, on a désormais un indice « phénicien » pour faire le lien entre la Kabylie et la Nordaf avec l’Egypte ancienne et nouvelle. Un toponyme à déchiffrer pour cette ultime question du quiz :
G – Le toponyme kabyle suivant Ait-Bouyahia (yahia de hayat « vie » en masri-arabe), abritant les serviteurs de Dieu et gardiens du temps qui détiennent la clé (de la sublime porte) du temple akal averkan « terre noire » des Ath-Dwalla en Haute-Kabylie pourrait signifier… ?
1. Saint Germain ;
2. San Diego ;
3. Saint(e)-Phénicia ou Sainte fée Ankh « vie » (haute antiquité) avec probabilité d'y trouver la notion de sacrifice.
Il serait bon de rappeler que nous sommes toujours dans une hypothèse de travail, donc rien n’est encore acquis. Il faut nécessairement du recul pour juger de la probabilité de telle ou telle réponse avant de la valider. Un mois de décantation suffirait probablement et il commence toujours par la nuit du doute. Les réponses peuvent attendre jusqu’au 5 juillet prochain. Je souhaite un agur leh’na (mois de paix), surtout pas aux hypocrites, mais uniquement aux gens de bonne foi, jeûneurs ou pas, qui ne badinent pas avec la vérité du peuple et du Créateur.
Je terminerai ce billet par la devise chevaleresque de feu Dda Lwennas : la3bud n’Rebbi n-3ana, an-lhu qvala, la3yuv fell’agh ath n-issar « Puisse Dieu nous guider sur le droit chemin et nous épargner le déshonneur ». La clé de la sublime porte du temple kabyle est une question existentielle, autant vous dire qu’il faut apporter des réponses pour congédier le doute sur la nature du Livre servant de référence aux Maures (Nordafs, Kabs croyants compris) durant toute leur vie : est-ce celui des vivants ou celui des morts ? Bon courage !
Thanemirth et à bientôt.